suite à un travail de fond, sert un caviar pour Rebrab qui ne se fait pas prier pour battre l’infortuné Haddadj. Le TAS est donné et ce dernier devra boire le calice jusqu’à la lie.

Pourtant, le roi de la gaffe (euh pardon de la FAF ) était sur de la victoire finale qui ne voulait pas prendre forme. D’ailleurs, il serinait sans cesse : «Atos, Atos mazal el hal» mais, comme réponse, il a reçu cette sentence de Brel (euh encore pardon de Rebrab !) : « Hamid, arrête tes prières, le RCK retourne en D1 et Matiz est revenue».

Il faut dire que Rebrab n’a pas voulu laisser tomber le dossier et a mis l’Accent sur la i 10. Pour le boss de Hyundai, la FAF a commis l’irréparable. Pour lui, Elantra (ah non encore pardon !) elle entra à Lausanne par la grande porte et ressortit par la fenêtre. Le Trajet était long pour celui qui gère le football national plus que jamais moribond, pour celui qui possède l’art de transformer les victoires en défaites, pour celui qui persévère dans la …médiocrité.

Il paraît même que Haddadj a visionné le film de Matrix avant de se connecter avec Lausanne mais ces actions Santa Fe (encore une erreur excusez-moi) sont tout à fait ubuesques.

Il ne lui reste qu’à éteindre la lumière et démissionner dans le noir, lui, qui a créé une microsociété de journalistes «spéciaux et commandés» aux cœurs d’airain qui fondent à la moindre relativité (Abki ya Einstein !).

Et puis, son attitude durant tout ce feuilleton avec le RCK, a donné lieu à cette réflexion de sa part à l’égard de toute l’opinion sportive nationale et internationale: «Je panse, donc j'essuie».

Kouba peut respirer, les coups bas peuvent d’extirper et puis encore, il paraît qu’il va avoir une Khalouta, Haddadj. On parle de la rétrogradation de l’USMH en division deux. Si c’est le cas, l’Oued El Harrach va sortir de sa crue.

Wait and see ! Mais contentons nous de dire, de notre part, que Bourahli est de retour et que les Badaouis commencent à trembler.

Saha Aïdkoum !